J’ai débarqué au Québec à l’âge de 8 ans avec mes parents et mes deux sœurs. Nous étions des réfugiés politiques.
C’est à Sherbrooke que commence mon histoire d’amour avec le français, le hockey et le Québec, grâce à mes voisins qui m’ont invité à jouer dehors.
Après un diplôme en administration des affaires de l’Université de Sherbrooke, où mes deux parents enseignaient, je quitte Sherbrooke pour Montréal. C’est là que j’ai commencé à m’impliquer avec la Commission-jeunesse du Parti libéral du Québec.
Je viens de passer près de 20 ans à la Chambre des communes à défendre les intérêts du Québec et si je reviens en politique québécoise aujourd’hui, c’est pour continuer à le faire. Ici. Avec vous. Avec le Parti libéral du Québec.
Né en Argentine, j’ai grandi à Sherbrooke, je vis à Montréal… et je me dirige vers Québec!
– Pablo Rodriguez
Les années Sherbrooke
Je suis un gars de Sherbrooke !
Pour moi, Sherbrooke est synonyme de générosité, d’accueil et d’ouverture typiquement québécoises. C’est sur les patinoires que j’ai appris le français.
C’est en jouant de la guitare avec des amis que j’ai découvert Paul Piché, Robert Charlebois et tous les autres.
Et ces mêmes amis m’ont amené vers notre parti.
Le début de ma carrière et mes années politiques
J’ai commencé ma carrière professionnelle dans le domaine du développement international pour le compte d’une ONG. J’ai été responsable de projets de développement en Afrique, en Asie, en Amérique latine et dans les Caraïbes. J’ai aussi été très impliqué auprès d’Oxfam-Québec pendant quelques années.
J’ai également travaillé dans le secteur privé à titre de vice-président et associé d’une firme d’affaires publiques où je pilotais divers projets au Canada et à l’international.
Mais dès mon jeune âge, la politique me passionnait et occupait pas mal de mon temps!
J’ai fait mes premiers pas en politique avec la Commission-jeunesse du PLQ. D’abord comme VP jeune dans l’association de Crémazie, puis sur l’exécutif national avec un certain… Mario Dumont.
Au fil des années, j’ai contribué aux campagnes du PLQ au niveau des communications lors d’élections générales ou partielles, notamment dans Anjou–Louis-Riel, Mercier, Jeanne-Mance–Viger, Vimont, Blainville et plusieurs autres.
En parallèle, avec la montée de la souveraineté, j’ai commencé à m’impliquer au sein du Parti libéral du Canada dans les années 90. J’ai eu le privilège d’occuper une foule de rôles : d’abord comme président des jeunes libéraux fédéraux pour le Québec, ensuite président pour le parti au Québec. Puis, en 2004, j’ai eu l’honneur d’être élu député d’Honoré-Mercier, puis ai été nommé à des postes clés au sein du gouvernement du Canada : ministre du Patrimoine canadien, leader du gouvernement, ministre des Transports, lieutenant du Québec.
La traversée du pont
Ça fait 20 ans que je me bats à Ottawa pour défendre le Québec, et aujourd’hui, je suis inquiet.
Inquiet de ce que je constate au Québec :
Un gouvernement qui divise par ses politiques et positions.
Un PQ qui promet la division ultime : un référendum dès le premier mandat.
Il est temps pour moi de revenir aux sources de mon engagement politique. Il est temps de revenir au PLQ, de rentrer à la maison.