Mon premier rôle comme chef du PLQ va être de préparer notre parti pour la prochaine élection et de poser les bases d’une stratégie gagnante. Nous devons tous croire à la victoire du parti le 5 octobre 2026 et travailler ensemble pour y arriver.
Trois principes vont guider mon approche :
Un parti positif et rassembleur
Dans notre équipe, qu’on soit chef, députés, employés du parti ou une personne qui s’implique bénévolement, on a tous une chose en commun : on est tous des militants!
Pour former une équipe gagnante, il faut retrouver le plaisir et la fierté de s’impliquer au sein du Parti libéral du Québec mais surtout, développer un fort sentiment d’appartenance.
Pour y arriver, il faut multiplier les rencontres, les collaborations entre les circonscriptions, les échanges entre les différentes instances du parti. Il faut encourager et faciliter la formation sur les outils et méthodes du parti auprès des militants qui rejoignent le parti ou y reviennent. Il faut surtout, faire des militants de notre parti de réels acteurs de changement pour le Québec.
Moderniser la gouvernance de notre parti
Les règles et façons de faire ont évolué, notre parti doit s’y adapter.
Financement, stratégie de campagne, mobilisation, apport des jeunes, émergence des idées, outils et moyens… Sur ces aspects, est-ce qu’on peut dire qu’on est un parti moderne? Est-ce qu’on est assez efficaces, efficients et surtout axés sur les résultats?
Il ne faut pas avoir peur de se poser les bonnes questions et de revoir nos façons de faire afin de redevenir ce que nous avons déjà été, une véritable machine électorale.
Les bases de données : la base des bonnes décisions
Partout dans le monde, les partis politiques gagnent des élections parce qu’ils prennent des décisions informées, des décisions basées sur des données.
C’est quand la dernière fois qu’on a parlé à cette personne? Qu’est-ce qui est important pour elle? Est-ce qu’on sait comment contacter la personne rencontrée au centre d’achat qui voulait absolument une photo avec le candidat?
Il faut développer une vraie culture des données, qui va bien au-delà du choix des outils technologiques ou des logiciels, et qui doit nous servir à prendre les bonnes décisions, orienter nos positions politiques et améliorer nos stratégies électorales.